Libreville, 1er Juillet (AGP) – C’est sous le signe de cet idéal rêvé et aussi de cette condition sine qua non au développement du Gabon, que les membres de l’Assemblée nationale ont refermé, ce mercredi 30 juin, leur première session ordinaire de l’année 2021.
Conformément aux dispositions de l’article 41 de la loi fondamentale gabonaise, les députés sont en vacances. Les travaux relatifs à leur première session ordinaire de l’année 2021 ont pris fin ce mercredi 30 juin, à la faveur de la cérémonie de clôture présidée par le premier responsable de leur institution, Faustin Boukoubi. Laquelle cérémonie a été, entre autres, marquée par la présentation du “Livre blanc pour la paix”. Un ouvrage produit par la première Chambre du Parlement et dans lequel plusieurs compatriotes y ont partagé leurs méditations afin de promouvoir la paix dans le pays.
En attendant, on note que cette session qui s’achève n’aura pas été de tout repos pour les élus du peuple. Étant donné que, le bilan non exhaustif dressé par Faustin Boukoubi indique que 77% des textes transmis aux députés ont été examinés. Soient, de façon détaillée, dix ordonnances ratifiées, vingt projets de lois et quatre propositions de lois adoptés.
Parmi les textes votés, on note entre autres, le projet de loi portant élimination des violences faites aux femmes, le projet de loi portant ratification de l’ordonnance réglementant la sous-traitance en République gabonaise, le texte portant modification des dispositions relatives à l’orientation de la politique de la santé au Gabon, ainsi que celui fixant la politique semencière végétale.
De même, le texte modifiant et complétant certaines dispositions définissant les mesures générales de protection sanitaire de la femme, de la mère et de l’enfant. Et, le projet de texte portant ratification de l’ordonnance fixant le régime juridique de la production, du transport et de la distribution de l’énergie électrique et de l’eau potable au Gabon.
Soulignons que cette clôture marque également la fin du cycle de deux sessions de quatre mois par an, pour une session unique à compter d’octobre prochain.
