Libreville, 1er Juin (AGP) – Les examens de fin d’année scolaire se poursuivent à Libreville, a constaté l’Agence gabonaise de presse ce mardi 31 mai, dans les différents états-majors retenus dans la circonscription scolaire Est de la capitale gabonaise, avec la correction des épreuves écrites, pour le certificat d’étude primaire (CEP) et la poursuite des épreuves écrites pour le brevet d’études du premier cycle (BEPC).
Les centres d’examen des circonscriptions de Libreville Est ont servi de baromètre à la poursuite des examens dans le Grand Libreville, a constaté l’AGP dans ces différents centres. Les secrétariats étaient à pied d’œuvre pour la correction et centralisation du CEP, et pour la poursuite des épreuves écrites pour le BEPC.
Aux centres du lycée Mbélé, du complexe Jean Hilaire Obame et du lycée Mohamed Arissani, tous à Nzeng-Ayong dans le 6ème arrondissement de Libreville, les examens se poursuivent. Les différents présidents de centres et secrétariats étaient présents. Pas d’incident majeur à signaler, à part le cas de cet élève, Samsom Mbais, de la classe de 3ème, attaqué par une crise de paludisme, et immédiatement pris en charge par le directoire du centre. Il a repris les épreuves prévues en cette journée de mardi, c’est-à-dire les mathématiques, les sciences physiques et les sciences de la vie et de la terre. D’ailleurs la présidente de ce centre, Brigitte Mavoungou, s’est voulue rassurante sur son cas. “Sa situation est stable. Nous avons réagi dès ses premières difficultés. On lui a apporté les soins nécessaires et une assistance adéquate. Il a poursuivi ses épreuves normalement“, a-t-elle déclaré.
Toujours au complexe Jean Hilaire Obame, le secrétariat du CEP s’active à la correction de l’examen, en attendant la centralisation. Les résultats du CEP pourraient être connus d’ici le 4 juin prochain, selon le calendrier officiel.
Même sentiment au centre Mohamed Arissani. Les épreuves se poursuivent normalement, selon son responsable, Moussavou Moussavou, inspecteur pédagogique. Ce centre accueille environ trois établissements dont un privé laïc, un privé et un confessionnel. L’on y dénombre environ 267 candidats.
